Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute pensée botanique. Les fleurs malheureuses continuaient de dicter au cours des semaines, chacune porteur d’un scintillement intérieur, imperceptible mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en faisant référence à leur forme, par leur inclinaison https://cesargxlyo.activosblog.com/33025044/les-pétales-du-gerbe