Dans l’enceinte subtilement hermétique du centre d’appels, les techniciens continuaient à répondre aux sollicitations sans noms, bercés par le rythme monotone de leurs shifts, l’esprit oscillant entre sollicitude mystérieuse et prolétarisation diffus. Chaque voyant recevait des flux sensoriels à travers une interface adaptative, ajustée à son profil émotionnelle. Aucun contact https://simonpvyaz.blogdosaga.com/33871326/le-coeur-d-appels-des-disparus