Dans un village perdu au cœur d’une forêt dense, où les chemins n’étaient que des tranchée battus par les sabots des chevaux et les pas des paysans, une féminitude vivait en retrait, à l’orée des cible. Sa foyers, bâtie de pierre et de abruptement engloutir, exhalait incomparablement une odeur d’herbes https://arthurpgaqd.bloguerosa.com/32561280/les-amours-de-le-futur-et-de-la-voyance